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Patrimoine

L'édifice Savage au tournant du XXe siècle.

Granby et son patrimoine bâti-partie 2

Le commerce est une notion large qui inclut plusieurs activités différentes — commerces au détail, studio photographique, banque, téléphonie —, mais dont le dénominateur commun est la vente de marchandises ou de services. À Granby, on recense 12 édifices patrimoniaux dont le commerce fut la principale raison d’être.

La murale St. Patrick, de l’artiste Alfred Pellan, a été réalisée en 1958. (photo Chantal Lefebvre)

Le legs d’Alfred Pellan à Granby

Alfred Pellan compte parmi les artistes canadiens les plus connus. Aussi Granby peut-elle s’enorgueillir de posséder deux de ses murales, installées sur la façade du 142, rue Dufferin et celle du Cégep de Granby-Haute-Yamaska.

L’un des plus vieux édifices de l’Imperial Tobacco construit en 1896, situé rue Cowie. Fermé en 1971, le nouveau propriétaire offre ses locaux en locations à diverses entreprises, artisans et artistes.

Granby et son patrimoine bâti-partie 1

Comme son histoire, le patrimoine bâti de Granby est relativement récent; il ne mérite pas moins qu’on s’y attarde. Le texte que nous vous présentons aujourd’hui est le premier d’une série qui met en relation les formes architecturales et les courants historiques.

Presbytère catholique Sainte-Pudentienne, 946, rue Principale, Roxton Pond (Guide du patrimoine de la Haute-Yamaska, 2015, p. 79

L’avenir du presbytère de Roxton Pond

La Société d’histoire de la Haute-Yamaska considère que le presbytère de Sainte-Pudentienne de Roxton Pond a une bonne valeur patrimoniale et que le maire et le conseil municipal devraient reconsidérer l’avis de démolition.

Depuis son installation dans le hall d’entrée de la bibliothèque municipale de Granby, le sarcophage romain ne cesse d’attirer les regards de tous ceux qui fréquentent ce lieu de savoir.

Des nouvelles du sarcophage romain

Objet rare et précieux datant du IIe siècle de notre ère, le sarcophage romain n’a pas fini de nous livrer ses secrets. Des recherches récentes ont permis d’identifier les armoiries de la famille De Caprona, qu’on trouve en dessous du sarcophage, et la plupart des personnages qui apparaissent du côté chrétien de l’œuvre.